Artiste autodidacte, Françoise Férole née en 1948 à Paris 14ème ; après des études de philosophie, carrière dans l’industrie des télécoms.
En 1992, désir impérieux de peindre pour exprimer en couleur des évènements personnels.
Les séjours en Vendée m’ont inspiré des œuvres sur la transparence de l’eau où rien n’est réel et figé mais toujours changeant et insaisissable.
Dès ma prise de retraite, j’ai fréquenté différents ateliers dont, notamment l’Abbaye de Maubuisson pendant 5 ans avec découverte de l’art contemporain et passage à l’art abstrait.
Expositions :
Travaux d’élève à Maubuisson de 2005 à 2010 Salon du Val de viosne Osny 2013
Mon voisin est un artiste depuis 2006 Salon de printemps L’Isle Adam en 2013
Manganèse à Vauréal - travaux d’élève de 2010 à 2012 Salon de Maurecourt 2013
Salon du Val de Viosne Osny 2011 Salon des arts de Pontoise 2013
Arami à Ermont 2013 Salon des Beaux arts de La Frette 2013
Salon des Arts de Pontoise 2014 Arami à Ermont 2014
Les jartdins de Montagny 2014 Au fil de l’art 2015
Bessancourt 2015 Marché de l’art à Conflans 2015
Abbaye de Lieu-Dieu - Jard sur mer - été 2015 Fontenay le Fleury 2015
Salon d’automne Gisors 2015 Montmagny 2015
Arami 2015 Salon de Pontoise 2016
Arami 2016 Salon de Bessancourt 2017
Démarche artistique
Mon but n’est pas de reproduire le réel mais de faire apparaître une écriture où les différentes matières et techniques, en se mêlant et se superposant font surgir un monde parallèle fait de contrastes, de fluidité, de lumière et de renouvellement constant.
Je conçois l’art comme moyen d’expression unique qui, tout en se confrontant à la réalité, permet de la dépasser.
Le travail sur les matières, parfois leur incompatibilité, autorise une ouverture vers le monde de l’imaginaire, du flou, de la transparence, de l’harmonie et aussi de la lutte et du contraste.
Je suis en recherche constante de l’accord improbable entre les contraires pour aboutir à une œuvre qui interpelle.
Dans un deuxième volet, à partir de tampons inspirés de la nature réalisés en linogravure, je colle les morceaux de papier chinois imprimé au hasard des formes sur un support tel que le bois ou le contreplaqué ; ensuite vient la phase du vernissage (7 couches suivies chacune d’un ponçage). Ce travail est passionnant car les réalisations donnent prétexte au rêve et à l’imagination et rejoint la première démarche où un monde parallèle se fait jour.